Tu m'étais tout

(011/300) MON ARC-EN-CIEL, TOI ! Après la pluie L'Archange-Ciel Le paradis Des sans-soleils Je dors sans oreiller, tête sur ta poitrine (au pied de l’arc-en-ciel se trouve un trésor, enfant c’est Maman qui me l’a raconté, c’est donc vrai) Psst ! Madame...

(051/250) Photo by Daniel Elster Photo by Bruno Birkhofer UNE ÉTOILE À L’ŒIL NUE Un projecteur caresse à regard cru la lice, Un long parquet cachou scrute son univers Comme le corporal¹ attend le Saint Calice, Deux corps nus vont danser un pas de deux...

Note à moi-même Quand on ne possède pas les bons pinceaux, on essaie d’écrire quand même sur le travail de ceux qui les ont. UNE HISTOIRE PROVENÇALE On le racontera sous L’ARBRE DES AMOURS À jamais le corps de l’Arlésienne autour De celui, tout en feu,...

Note à moi-même Quand on ne possède pas les bons pinceaux, on essaie d’écrire quand même sur le travail de ceux qui les ont. QUAND LA CLOSERIE DES LILAS AIMAIT UNE DEMI-MONDAINE LA BRASSERIE À MONTPARNASSE Se demande brûlante : « Ô, ma Bell’, quand pass’-t-elle,...

(019/300) Olivier2000 sur Wikipédia français LA FILLETTE À LA MANDARINE Ce matin, j'ai vu Sandrine Qui mangeait sa mandarine*, Elle a gardé dans ses mains Quatre ou cinq petits pépins. Sa bouche a soufflé dessus Des balles jaunes sont apparues Et la petite...

(228/250) Photo by ? (pour le moment) Dans mon rêve, nous irons Tous les deux aux champignons, Dans ton panier nous mettrons Un joli dom Pérignon. LE MATEUR DE CHAMPIGNON C'était un matin bleu vers les bois de mon lit, Les vapeurs de l'amour se mélangeaient...

Photo by © Andrey Pavlov - Shutterstock Photo by Frank Vassen (Licence CC) UNE JOLIE "LEÇON" D’ORTHOGRAPHE Tout jeune, j'habitais une maison dans les bois ; au bord d'une mare toute proche, j'avais laissé une belle feuille sur laquelle j'avais écrit 'nénufar'....

RENDEZ-VOUS Vous Vous Vous Vous Vous Vous Vous Vous Vous Vous Vous Vous Youpi ! J'ai obtenu un rang de vous, D'accord, ce n'est pas avec vous, Mais après tout C'est mieux que rien du tout ! (Avec des Tu ça le fait moins, Six petits rats de l’Opéra, peut-être...

L'érudit taillant sa plume, Gerrit Dou LE SENS CACHÉ D’UN TABLEAU En taillant si bien ta plume, Chaque nuit tu te consumes À penser cher érudit Qu’une muse, je présume, En ferait à ton légume De même. Oublie tout ça, dis !

(010/800) QUE DE NOSTALGIE AVEC TOI, NEIGE ! Que n’ai-je aimé ta lèvre offerte ? Que n’ai-je osé ta découverte ? Que n’ai-je vécu tout ton temps ? MAIS OÙ SONT LES "n’ai-je" D’ANTAN* ? * Parmi plus d’une centaine de bêtises que vous me permîtes de commencer...