Veuillez m’excuser, Stéphane Mallarmé
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Un petit envoi malicieux de Paul Valéry à Pierre Louÿs qui restera à jamais non publié :
LES MARDIS DE LA RUE DE ROME
Les Mardis de la Rue de Rome,
J’eusse aimé mon cher Mallarmé
Y fréquenter ta Belle armée,
J’aime trop le citron au rhum* !
*Lors de ces réunions s’y distribuaient force verres de punch très appréciés par les invités.
Et plus sérieusement, à propos de leur maître :
« Les poèmes quantiques de Mallarmé conserveront toujours la beauté de l’équation de Schrödinger, surtout dans sa formulation indépendante du temps. »
Mon Chat (½)†