Veuillez m’excuser, Stéphane Mallarmé
(101/800) Un petit envoi malicieux de Paul Valéry à Pierre Louÿs qui restera à jamais non publié : LES MARDIS DE LA RUE DE ROME Les Mardis de la Rue de Rome, J’eusse aimé mon cher Mallarmé Y fréquenter ta Belle armée, J’aime trop le citron au rhum* !...